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Date d'inscription : 04/01/2009
 | Sujet: Description : Nation du Feu  Mer 28 Jan - 0:30 | |
| Nation du Feu :
Système politique : Monarchie.
Souverain : Ouja Shiin No Kisarazu No Doreï
Régime Politique : Dictature Oligarchique.
Capitale : Kenji
Situation Politique : La Nation du Feu est la première puissance Militaire de Tsuchi. Son armée surpasse en nombre celle de la Nation de la terre, qui pourtant, bénéficie d’une population supérieure. Les Territoires sous l’emprise du sceau du Feu augmentent en nombre de jours en jours. La Nation du Feu est celle qui domine cette période de la guerre. Chaque jour, ses opportunités de victoire se rapprochent.
Territoires : Île d’origine, Fujimino. La Nation du feu a aussi installé des campements militaires dans des régions reculées d’Algard. Petit à petit, l’armée se rapproche de la Capitale de la Terre. Bon nombre d’îles sont aussi des régions conquises par l’Armée Rouge. L’Ile Aérienne du Sud-est en fait partie, cependant, la nature semble interdire au fils du feu la vie en ces lieux.
Brève Description & Folklore :
Depuis la Nuit des temps, les Kisarazu gouvernent en maître tyranniques et cruels la Nation du feu. Selon les légendes populaires, ce sont des fils du Dieu Kagu-Tsuchi et des plus belles humaines des temps anciens. De ces unions, le clan Kisarazu serait né. Ce clan est divisé en plusieurs corps. Seul les membres de la sous familles No Doreï ont la prétention d’accéder au trône, et cela pour des raisons officielles inconnues. Mais en réalité, ces membres ont la particularité d’être des combattants hors-paires. La puissance de leur pouvoir est un symbole de puissance dans tout Tsuchi. Cependant, cette dynastie périclite. Au fur et à mesure des siècles, les Kisarazu No Doreï se font de moins en moins nombreux. Et beaucoup de Kisarazu n’attendent qu’une chose, la disparition de cette branche, qui remettrait le sort du trône en jeu.
Il y a certaines conditions à remplir pour avoir le titre de No Doreï. Celui du sang en est une primordiale, mais il y arrive qu’après consultation de la famille, un membre externe à ce groupe obtienne le titre, suite par exemple à des exploits combatifs. Tout comme ce groupe peut interdire à l’un de ses membres ce titre.
Les Doreï ont donc su assoir leur domination sur leur peuple, qui les craint autant qu’il les respecte. Un véritable culte de la personnalité s’est instauré, à la limite de la vénération. L’Armée Rouge est très fidèle à son souverain, et ne le trahirait jamais. Tout acte de haute trahison est sévèrement puni. Dans cet état totalitaire, la mort ne sera pas une délivrance. Si un fils du fils trahi, tout son entourage en subira les conséquences ( Exécutions arbitraires, liquidation de quartiers entiers, privation de droit, esclavagisme… )
Ni l’esclavage, ni le proxénétisme ne sont interdis chez les fils du feu. Ces activités doivent être signalées au préalable à la commune. Tout proxénète ou marchand d’esclaves versera un impôt spécial. Cependant, la prostitution sauvage est interdite, « Toute Catin retrouvée sur la place publique, en dehors des quartiers de luxures, sera immédiatement arrêté par l’Armée Rouge et sera sévèrement punie. La sanction peut être la mort, le don du corps de cette catin à l’armée, la réduction à l’Etat de sous être, torture… ». Le don du corps à l’armée est une des plus cruelles inventions des précédents Kisarazu. Cette sanction donne le sort de la victime entre les mains de l’Armée Rouge. La femme se retrouvera retranchée dans des camps de plaisir uniquement réservée à l’élite militaire. Son but sera évidemment de fournir calme et repos aux héros de la Nation, mais aussi d’enchaîner les grossesses pour que l’Armée ne manque jamais de soldats.
Les Apatrides sont souvent mal perçus dans la Nation du Feu. Quand au fils du feu ne pouvant exprimer leur pouvoir, ceux-ci partent dès qu’ils le peuvent en exils, et éviteront à jamais de croiser l’un de ses anciens compatriotes, sauf s’il désire jouer avec sa vie. Un véritable tabou existe auprès de ses oubliés génétiques, tous ceux qui ne bénéficieront jamais de leur pouvoirs élémentalistes.
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